SECTION .!. — CHAPITRE III. S. T Gm aussi petit d’ailleurs que l’on voudra; on pourra assigner Soit 0 un angle positif déterminé, inférieur à — et une quantité positive 7 telle, que dans chacun des po- lynômes — Cop”sinen 0 + C p" #H 1 A Cms P + Oms — Cop”*cosmo + G, p3 14 Om—r P + Gmn —mC,p"—" cosm 6 +— (m —1) C, p3 4 11 Gt le module du premier terme soit supérieur à la somme des termes suivants, pour toutes les valeurs de p supé- rieures à r ; nous supposerons que la valeur choisie pour p soit supérieure à cette limite. » si cet Cela posé, € étant compris entre — S , 4"l L|.HZ angle tombe en dehors des limites — 6 et + 9, la valeur absolue de sinrme sera supérieure à sin m0, et, en consé- quence, le module du premier terme du second membre, dans la première formule (5), surpassera le module de la somme des termes suivants; donc P ne peut s'annuler que si e est compris entre —0 et + 6. Mais, pour les valeurs de e comprises entre —0 et +9, le premier terme du second membre, dans chacune des deux der- nières formules (5), est supérieur au module de la somme des termes qui suivent; par conséquent (— 1)*Q et (— 1)*Q" sont positifs. Alors le polynôme (—1}}P décroît constamment (n° 52) quand e croît de — 0 à +0; ce polynôme a d’ailleurs le signe + pour c = — 9, etiil a le signe — pour ç= +09; donc il s’annule une fois, et 0 à + 0. On voit aussi que (— 1)*P passe en s'annulant du positif au né- une fois seulement, quand e croît de . n E gatif, et, comme (— 1)*Q reste positif, le rapportQ s’annule une fois en passant du positif au négatif.