130 COURS D’ALGÈBRE SUPÉRIEURE. Étant donnée l’équation f(z) = 0, traçons deux axes rectangulaireset décrivons de leurorigine commecentre un cercle dont lerayon p soit aussi grand que l’on voudra. Soit (1) F(3) = Ao3"*+ A3 4H Ap-1 2 +— Ams si l’on désigne par CÇ, et œ, le module et l’argument du coefficient A,, et que l’on pose == p (cose + isin o), on aura F(3)=Cop”[ cos (mo + æ)) + isin (me + x0)| +... = Cm—1P {COS (°’ == 2m—1) 4 isin /\w H xm—1 )î} + Cyn ( COS &n + ÉSIN @ ) ; en faisant, comme précédemment, ÿ{a=P-+iQ. il viendra \ PEc A se f y k [ = ‘ - P — C,p”* cos (me + y ) + …. + Om—1 p COS(& + œm—1 ) + Cm COSA/mI \ Q = Cap” sin (mo + œ ) + .. + Om—rp sin (e + æ —1 ) + Cn SIN Z° a y/ F rr et, en désignaänt par Q” la dérivée de Q par rapportàp, on aura ainsi (3) Q= mCop"=! sin ( me + œ9) + »» . + En —s SIN ( # œ_s ) Quelle que soit la valeur de w, on peut faire \ T (4) mo+H+æa=k-+me, 9 K étant un entier et me étant un angle compris entre T T _ .4_ et + Â. Si K est un nombre impair 2k + , les formules (2) et (3) deviendront (—1)*P =— — Cop”sinme +..., (5) (—1Q = +C,pcosme+ ... (—1)*Q' =— +mC,p”""cosme+....