124 même de la valeur absolue de e: d’où il résulte que COURS D,ALGËBRE SUPÉRIEURE. cosme est supérieur à sinn9, et, en conséquence, la ? , fonction P ne s’annule pas quand e varie de — — /{Ïl A x à+ . LI_/[ Maintenant, si, en partant d’une valeur quelconque de w, on veut décrire la circonférence entière, de ma- nière à revenir au point de départ, 1l sera nécessaire et suffisant de donner à l’entier K 4n valeurs entières consécutives quelconques o, 1, 2, 3,..., (4n—1) par exemple. À chacune des 27 valeurs impaires de K corres- p(mdru une valeur de € comprise entre —ô et +0, pour = P. = laquelle le rapport Q s'’annulera en passant du positif au négatif, ce qui achève la démonstration de la propo- sition énoncée. Nous aurions pu abréger cette démon- ; T “ RS strationen prenant 0— 7_ ; Mais le p1‘0(‘cd(æ que nous ql? avons suivi a l’avantage de montrer que les valeurs de p - . — n6) + Œp, pour lesquelles Q s’annule, ont pour limites les . . . T .. , A ° e multiples impairs de-, quand on fait décroitre indéfi- 2 niment l’angle 6. 55. Au moyen du lemme que nous venons d’établir et en faisant usage de considérations ingénieuses que nous empruntons à une Note de Sturm et Liouville (*), on dém_0ulrc très-facilement le théorème de Cauchy, qui consiste dans la proposition suivante : Tuforème. — Soient z une variable imaginaire x +ly, f(=)=P+1Q une fonction entière de cette t (!) Journal de Mathématiques pures et appliquées, 1Y série, t. 1, p. 278.