SECTION I. — CHAPITRE III. 21 passe d’une valeur négative à une valeur positive ; mais nous avons voulu réduire notre lemme à ce qu'il a d’essentiel pour l’objet auquel nous le destinons. Il donnera d’ailleurs le complément dont nous venons de parler, si on l’applique à la fonction àf(z). Faisons encore une remarque importante : pour que le rapport P E . = 0 ait en chaque point de la circonférence une valeur déterminée, il suffit que le rayon p ne soit pas égal à la distance du point zo à l’un des autres points racines de l’équation f(=) = 0; mais rien ne limite la petitesse de p, et ce rayon se trouvera assujetti, dans notre dé- monstration, à être moindre que la plus petite des dis- tances dont nous venons de parler. Posons z2—3x—+#; comme on a, par hypothèse, ./l\:U\ == 0 f,‘;zo\‘ =— 0, ..., .fn—l(zo\1 — 0, \ et que f "*(z9) n’est pas nulle, la valeur de f(z) or- donnée suivant les puissances de % sera f”ï zu) : n ‘m‘z\‘ lL|\ _/Z :___.__/1'++Lf_kü__ ; D cec e ÀE T u20 =— M /l m Si l’on désigne par p etw le module et l’argument de la variable h, on aura h — p (cose + isino); représentons en outre par C, et , le module et l’argu- f“l30) > pour toutes les valeurs n, n +1,..., m de u, j"‘L(Z'uï 8 —— =C, S, — à SIN %y }3 r :*(C‘)°“M à sil ,<‘,.), ment de la quantité » de manière que l’on ait,