SECTION I. — CHAPITRE III. 17 lement pour effet d’accroitre l’argument & de la quan- tité À, on aura 3+ h — p [cos(e + à) + isin(o +0d)] = p (cose + isino) (cos d + isin d), d’où l’on tire facilement h Ë ; T7 ë — sind (7—tang-0}; p la formule (1) devient alors >s « d S | > à | - ΣA s, sS c…. | - © 3 e vi= Q se (ea Ss R, + Lw E \ ou (2) F(z+h) —f(z) = p sin d[ifi (=) + n], en |m>‘a…l I é ; I 3 n =— — tang — d .f1(3) + (1 — tang —J> —&, 2 d \ 2 p { Lx E ; Le module de - est 2 sin - d; donc, la valeur de z étant æ 2 donnée, on pourra prendre d assez petit en valeur absolue pour que le module de æ soit moindre qu’'une quantité donnée quelconque. Dès lors la même chose aura lieu à l’égard de c, et aussi à l’égard des modules des deux par- ties qui composent la valeur de n ; donc enfin, si la valeur absolue de À est suffisamment petite,le module de » sera inférieur à une quantité quelconque donnée ». Posons f[z)=P +iQ, f(3+h) = (P+AP) H I(Q+ 4Q), fi(s)= P +iQ, n=a +, l’équation (2) deviendra AP + iAQ = psind (— Q'+ /P') + psind (« + à6), \