116 COURS D,ALGÈBP\E SUPÉRIEURE. logue au précédent et qui se rapporte au cas général où les coefficients de la fonction f(z) sont des quantités quel- conques réelles ou imaginaires, et où la variable recoit aussi des valeurs quelconques. Posons z — p (cose + ismo), et soit t Il As A 2E A In ou F(3) = Aop” (cosme + isinmo) +...+ Âms la (l(*1‘i\'é@f’(i) a pour valeur s=— mA,= h ( A e = d’où l’on conclut P / \ / \ ps \ zf'(3) = mA,3” + (7m — 1) A,2"—1 4 ur S d'un autre côté, f(z) est fonction entière de lava- riable réelle p, et si, en se plaçant à ce point de vue, on nomme f (z) la dérivée de F(2), on aura se = mA9p”"(cosme +— isinme) — La comparaison des deux formules précédentes donne zj (z — 01 (2;.-d'où 3 = f, (=). z D'après cela, la formule F(=+h) — f(3) =hF(3) +he du n° 42 deviendra ; ; px O en = (1) jŸ\z—1—/};—f\z‘::‘f—jl_:‘+//s, e désignant toujours une quantité qui s’annule en même temps que À. Cela posé, supposons que l’accroissement » donné à z ne change pas le module de cette variable et qu’il ait seu-