112 COURS D’ALGÈBRE SUPÉRIEURE. à @y, M2 égales à A», ..., M égales à a,, il viendra # 1817005 , ; m, ; Ln ï Î S T , fF (z) 3 — , 3 — d, 3—a n les nombres my, ma, .. …, m, dont la somme est m étant égaux ou supérieurs à l’unité. Le second membre de cette égalité se réduit à une fraétion dont le dénominateur est __(z——-a.“w(z—aÿ...(z——a,Ù, fS 9(3) et dont le numérateur y ' Fs \ Z RE ‘ v(z A p US Un MMS —AN S —U HMn (3 — à p E n'est pas divisible par l’un des facteurs de 9 (=), puisque toutes les parties de HL(\Z> contiennent ce facteur à l’ex- ception d’une seule. L’égalité précédente donne cec a 41 p F (2) =— X d (z2); et, d’après ce que nous venons de dire, elle montre que -a ]\ DS ] DS =— (3— , )T"(2-— à3 =1 , .(3 0 en at est le plus grand commun diviseur des deux polynômes f (=) et f"(z). Le degré de ce plus grand commun divi- seur estm, #+m,+...—+ m,—noum—n. 00. THéonème IL. — Si une fonction entière f(z)a des facteurs linéaires multiples, on peut obtenir, par de simples divisions alsébriques, le produit des facteurs linéaires qui figurent dans f (z) avec un méme expo- sant. D'après ce qui précède, s! f(z) et sa dérivée f" (z) n'ont pas de diviseur commun, le polynôme f(=) n’aura