110 COURS l)’ALGÈBRE SUPÉRIEURE. En effet, si l’on exécute l’opération nécessaire pour trouver le plus grand commun diviseur de U et de V,on arrivera à un reste R, indépendant de z et différent de zéro. On aura alors une suite d'égalités, telles que [ U=VQ+R, : V—RQ, +R,, () | R=R(Q: + Ba, ............. ç > se |‘:L*-3 5 P‘zt—2 Q;L——1 E R;L—l! )‘I*—î — P\_,L…_1 QL‘< — Rl*‘ La dernière de ces égalités peut s’écrire (‘>‘; s-— 0;—R ; tirons de l’avant-dernière des égalités (1) la valeur de R, pour la substituer dans l’égalité ( 2), il viendra p—1 Ï 5 \ , (% | Qg l)l;L—î". es U t (\);A—l QH R.'*—‘Z —eu e RgAi considérons pareillement l’égalité qui précède les deux dernières dans le système (1), tirons-en la valeur de R, pour la substituer dans l’égalité (3), et continuons la même série d’opérations : il est évident qu’on formera de cette manière une suite d’égalités dans lesquelles le second membre sera alternativement + R, et — R, et dont le premier membre sera la différence de deux fonc- tions consécutives prises dans la suite R, 4 V, 6 multipliées l’une et l’autre par une fonction entière com- posée avec les quotients Q, Q, Q», ... La dernière de ces égalités sera de la forme MU—NV=— #R — us