106 COURS D,ALGÈB[‘\É SUPÉRIEURE. supérieur à m, les coefficients des diverses puissances de z dans f (z) sont identiquement nuls. En effet, le coefficient de la plus haute puissance de z est nul, puisque autrement la f()n(:ti(')lljÏîZ) ne pourrait s'annuler que pour m valeurs de z. La fonction f(=) se réduit ainsi au degré m — 1 ; le coefficient de =—" doit être nul pour la même raison, et ainsi de suite. Limites des modules des racines. 46. Il est facile d’assigner deux limites entre lesquelles soient compris les modules de toutes les racines réelles ou imaginaires d’une équation. Soit \ f(z)=0 une équation donnée dont le premier membre a pour va- leur / Fs PAate A TH AN Si l’on pose z = p(cose + isine), A, — an (Cosa, + isin æn ), puis j f * >ne P=a<.P'” C(,)S\I?lm+ao) #. #+app"cos(m — ne+ ln> H <0 # A COS Xm Q:(loPm sin ()‘Ilœ “ '/-u\fi es +anP” sm ('"' T RO4 4n ) Æ 100 — An SR Xms le carré du module R de f(z) pourra être mis sous la forme R?= [Pcos(me +— « ) + Q sin (mo + œ ) |* + [P sin (m œ + %, } — Qcos(mo + æ ) |?; si donc on fait ; S ‘ ; V =Pcos(me + « } + Q sin(me + & ) = ap”* +a,p""!cos(e—+ 0 — 1} + A C0S (M 20 — )3