SECTION I, — CHAPITRE ITI. 405 à ; A : ; ; egale a (—— l)” —A—:', en /)(Ll'llCull(’J‘ le /)I‘0(ÏLLLt des m ra- À m cines est{—1 y * 0 On obtient effectivement ces égalités en effectuant le produit Ap(3 — a1)(3— d2)...(3 — Am ) qui doit repro- duire exactement le premier membre de l‘(«1uali…1 pro- posée, eten écrivant que les coefficients des mêmes puis- sances de z sont égaux de part et d'autre. Conorraine I. — Si les coefficients du pobndme ‘(z)\sont réels, et que, parmi les facteurs linéaires de ce \ GuEs } wolynôme,ily en ait n qui soient égaux à =—(p+4), pot yue / 5 / ] q étant différent de zéro, il y aura également n fac- teurs linéaires de f(z) égaux à 3 — (p—i4); ct en conséquence le polynôme f(3) contiendra le facteur réel [(3 —p)?+ q* ]". En effet, le p411\11<‘)1110 /(z) étant décomposé en fac- teurs ]illéllll‘CS, on a f (2) =A,(3— a)(3—22)-.(3— , si, dans cette identité, on change à en — à le premier membre ne changera pas, puisque ses coefficients sont réels: on aura donc f(2)=As(=— }(> a,}<203— d 1 m” , désignant généralement ce que devient a, quand on remplace à par —. Il résulte de là que, si, parmi les fac- teurs linéaires de f(z), 1l y en a un ou plusieurs qui soient égaux à z—(p+ ig ), 11 y aura p1‘éciSémcnl un même nombre de facteurs égaux à 3 — (p — L )- Cororrame III. — Si la fonction entière f (z) du degré m s'annule pour diverses valeurs de z en nombre