SECTION 1. — CHAPITRE III. © © Pl‘iilCip@fondamental de la théorie des équations. 43. Lemme. — Soit f(2) = Ag" + A,at =4 ++ A3 + Am une fonction entière d’une variable z, d’un degré quel- conquem, el dans laquelle les coefficients Ag, A1,-<«, Am sont des quantités données réelles ou imaginaires. Si le module de f (z) ne se réduit pas à zéro quand on attri- bue à z la valeur déterminée z9, réelle ou imaginaire, on pourra trouver une quantité h, réelle ou imaginaire, telle que le module de f (z0+h) soit inférieur au mo- dule de f (26)- En effet, » désignant une nouvelle variable, rempla- çons z par zo +h, et faisons, pour abréger l’écriture, j.3" 1 e 9 fé(a0) , 15215 —P Zu:—f‘\zo)» = il viendra f(o+h)=2+Z2;h+.22+ Zohe 4.11 Zph”, Par hypothèse, le module de Zo n’est pas nul ; quelques- uns des coefficients Z4, Za,... des puissances de h peu- vent être nuls, mais il n’en peut jamais être ainsi du der- nier de ces coefficients, c’est-à-dire de Z,, dont la valeur est évidemment égale au coefficient Ay de 2” dans f(z); je représenterai généralement par Z, le premier des coeffi- cients Z, Zoy., Zm dont le module est différent de zéro. D'après cela, la formule précédente, divisée par fF(F0) oÙ Lo, deviendra Q 0 [%(' Î\/I }, r+ % h?+— £}—HÏ hhl #H Ln h t E0 T e s Désignons maintenant par p et @ le. module et l’argu-