SECTION I. — CHAPITRE III, 93 puissances croissantes de z, et que l’on pose F(2) = Am—p =* (1+e), on pourra assigner une quantité positiver telle, que pour toutes les valeurs de z dont le module est compris entre zéro et r, le module de € soit constamment inférieur à une quantité positive quelconque donnée B. En effet, la fonction que nous désignons par e a pour valeur ps A m—u—t 4 _{\_1.. zm=et _ALZHZ—‘/_ An Afi—y A ; | et il suffit de lui appliquer le précédent théorème pour établir la pr(»posili0n énoncée. Dans le cas où la fonction f (z) et la variable z sont réelles, on voit que, pour toutes les valeurs de z dont le module est inférieur à une certaine limite, la fonction a constamment le signe de son premier terme. Te CororLaire I. — Si /'\'—7 =— A1_\ 578 4# A1 ut t AnL—l 3 —— A//z est une fonction entière de z ordonnée par rapport aux puissances décroissantes de z, et que l'on pose f(=)=A0=" (1+e), on pourra assigner une quantité positiver telle, que pour toutes les valeurs de = dont le module est supérieur à r le module de € soit constamment inférieur à une quan- tité positive quelconque donnée H. En effet, la fonction désignée par e a ici pour valeur ———ÀÀ1 _AO H > © = —. Ï..__V\…_l __I . ïË —s s2 m—i m A, z A, z ë wJj > t N