SECTION I. — CHAPITRE IL. QI on aura R cosA — p cosa + p cos a', R sin A = psin a+ep sin a' ; si l’on ajoute ces égalités après les avoir élevées au carré et que l’on îeruie la racine carrée des deux membres de l’égalité résultante, il viendra 12 R — dm" cos(a — a'}) +p”; on a donc A RÉVIFFAŸ 0ù Sp+r, R> /{\o———o')2 èu Z+ tp - e') [ résulte de là que : Le module de la somme d’un nombre quelconque ” - . - - d’expressions imaginaires ne peut surpasser la somme des modules de ces expressions. Des fonctions entièrés. 40. Un polynôme tel que J A9 3" + Ay 244 A Amea 3 + Ams dans lequel chaque terme est le produit d’une constante réelle ou imaginaire par une puissance entière d’une va- riable réelle ou imaginaire z, est dit une fonction en- tière de z. Le polynôme étant supposé ordonné par rap- portaux puissances de z, le degré m du premier terme est le degré de la fonction. Une équation est dite algebrique lorsqu’elle peut être mise sous la forme f(z)= 0, f(z) désignant une fonction entière de =. Tuéonème I. — Si une fonction entièrcf(z) de z s’annule pour 3 = 0, On peut assigner une quantité po- sitive r, telle que, pour toutes les valeurs de z dont le