.0 COURS D’ALGÈBRE SUPÉRIEURE. équations (2) et (3), si la période de x renferme un nombre impair de quotients, et pour une seule de ces équations seulement, si le nombre des quotients con- tenus dans la période est pair. Les résultats qui précèdent ont été tirés de la consi- dération de l’une des racines x de l’équation (1); la deuxième racine ne donnerait rien de plus, car , en attri- buant à n des valeurs négatives dans les formules (4), nous avons fait intervenir, d’après ce qu'on a vu précé- demment, les réduites qui naissent du développement de la racine conjuguée de x. 35. Lorsque le nombre entier H est inférieur à yA, l’analyse précédente fait connaître toutes les solutions entières des équations (2) et (3). On a effectivement ce théorème : Tréorème. — Les nombres D, E F, H étant des en- tiers et H étant /A, si les entiers positifs P et C ; SUP- vA, / ! poses premiers entre eux, satisfont à l ’équation Dy*—2Eys+F2——+R, 5 ë P f : ; l(ljl’(lC!l()n Ô sera nécessairement une réduite de l'une des fractions continues qui représentent les racines de l’équation Dæw*— 2Ex +F —o, sauf une légère exception dont il sera parlé. On a, par hypothèse, PE (1) DP2—2EPQ+FQËZÏÏÏ, et l’une quelconque des racines de l’équation Dzæ?— 2Er +F=—0o0