66 COURS D’ALGÈBRE SUPÉRIEURE. v étant l’un des nombres o, 1, 2, on a n En V/ =4 (”3&* T P3n \/Â) (”v 21e \’Â)’ Uzu — P3n gAa = (u3 — #; yŒ)”; u Comme uz et v3 sont entiers, u,, et v,, le sont aussi ; d’ail- leurs u, et v, ne peuvent avoir que le dénominateur 2, puisque y est < 3; donc il en est de même de u, et de v,- | On peut même ajouter que les nombres u7 et v, sont ÿ tous deux entiers ou tous deux fractionnaires. En effet, sil’on multiplie l’équation (10) par celle que l’on obtient en y changeant \/ en — \,'_Α;, on aura, à cause de la ! formule (15), > (16) uh — Aoû=(—1)". | 1 â Il est évident que, si v, est entier, u, l’est aussi. Si v | est fractionnaire, u, ne peut être entier ; car, s’il l’était, ÀA serait divisible par 4, d’après la formule (16); alors u, serait entier d’après la formule (15), et v, le serait aussi, | comme on l'a vu plus haut. Notre hypothèse est donc { inadmissible, car v, ne peut être fractionnaire quand u, | et v, sont entiers. i Nous avons démontré que les valeurs de w, et de v, sont indépendantes du quotient à partir duquel on fait E+y A D- On peut ajouter que ces quantités sont les mêmes pour E + \ E — \/ T eN D D même équation à coefficients entiers. En effet, d’après commencer la période de l’irrationnelle x = » racines de la les formules (14), les valeurs de u, et de v, ne dépendeht ; ] que de la somme « + 6', puisque la différence x6/" — 64 est égale à H 1. Or, quand on passe de l’irrationnelle E+yA | Ï Ï : ; $ les deux irrationnelles 1 ; | | ; | | e u A lune = à l'irrationnelle conjuguée + +, les fractions