SECTION I. — CHAPITRE II. 63 ront les valeurs de P, et Q,, et résoudront ainsi le pro- blème que nous nous étions proposé. $ 28. Considérons les expressions des quantités u, et v; qui nous sont données par les formules (g). Si l’on re- , 3 œ Z ° A 720 æ = présente par — la réduite qui précède = dans le dévelop- O C pement du quotient complet x", on aura ax! + u e ‘ :_Ê_'——’Ç, d'où 'r/_)—_(1_6/)'r'—2'=0; æ +6 / x E/ sE ' — VA ; . remplaçant x par sa valeur —— » et égalant ensuite > « D à zéro la partie rationnelle, ainsi que la partie multipliée par \‘_Î , il vient A+ E" u ct E 6_î—)——(x—8Jfi_a — 0, 26]î—(“_6/)=0’ d’où E a 9719 a+ 6s ; (l5 0 D — 5_2_—, A—Î S <—j—2——) — ‘\aÊ ——Ê'J.W. Au moyen deces relations les formules (9) deviennent 44 a+6 = (a+xë \* , (I_î\ se » v V/A=\/<——) — ('/.âl — Êÿ) 2 e 4 ; et, comme-a différence œ6" — a6' est égale à — 1, on aura (15) u —Ao} =H1, Nous pouvons conclure de tout cela une propriété remarquable, qui consiste en ce que les quantités u, et v, ont les mêmes valeurs, quel que soit le quotient complet à partir duquel on fait commencer la période, pourvu que le nombre des quotients que l’on fait figurer dans cette période reste le même. En effet, suppmsonà que