SECTION I. — CHAPITRE II. 5o même rang soient égaux, car on est libre de prendre un terme quelconque pour origine de la période. La con- dition nécessaire et suffisante est que les termes de la suite précédente soient égaux aux termes qui occupent respeètivement les mêmes rangs dans la suite Tms Umtis +<<4 Um+n—29 Umn—t» m étant un indice indéterminé. Cette condition s’expri- mera donc par l’égalité Um+k — Un—k—1» qui doit avoir lieu pour touteslesvaleurs o,1, 2, …, (n—1) de l’indice À; en conséquence la période sera composée des deux suites ; — \ I\a… œjy +++» Ü/…——1) (ann Umsrs +++0 Uni )v dans chacune desquelles les termes également éloignés des extrêmes sont égaux entre eux. Remarque I. — Il faut remarquer que les racines de l’équation (2) donnent lieu à des fractions continues qui se terminent par les mêmes quotients, lors même que la quantité P serait irrationnelle. Seulement, dans ce cas, ces fractions continues ne sont plus périodiques d’après le théorème IT. Remarque I. — Nous savons que l'équation (2) com- prend comme cas particulier l’équation x2— À =0, où À désigne un nombre entier. Pour la réduire à cette forme, il faut faire P=o et a> +—1 72 —A ou {1/2:\ —— a ce qui prouve que l’équation indéterminée & A — 41