58 COURS D'ALGÈBRE SUPÉRIEURE. somme des racines soit effectivement égale à —P, il faut que l'on ait b après quoi la condition (1) donne @ 1 à Ds ° L’équation demandée est donc a 4s (2\/ J'2+P-Ο‘— (P—, +‘—T> =— 0; \ a a P est une quantité rationnelle «°31uc]conquc. a est un nombre entier quelconque, enfin a' est un diviseur quelconque de a2+ 1. Les fractions continues dans lesquelles se développent les racines de l’équation (2) ont donc nécessairement la même période ; d’un autre côté, d'après le théorème IIT, la période de l’une de ces fractions continues est inverse de la période de l’autre. Il en résulte que chaque période est une suite symétrique ouù qu’elle est formée par la juxtaposition de deux suites symétriques, dont l’une peut se réduire à un seul terme. En effet. soit U, Z, A9, <..y An la période dontil s’agit; d’après le théorème III, on pourra aussi considérer la période comme étant Us ps Ap Il peutarriver que les termes de cette seconde suite soient I‘L‘\‘P€Cli\‘€l]l(‘flf égaux aux termes qui occupent les mêmes rangs dans la première ; dans ce cas, la période est symé- trique. Mais, pour que les deux suites dont il s'agit puis- sent être considérées comme périodes de la même frac- tion continue, il n’est pas nécessaire que les termes de