SECTION I. — CHAPITRE I. 57 les termes également éloignés des extrêmes sont égaux entre eux. Il suit de là que la période des quotients com- plets obtenus dans le développement de \/A peut être re- présentée par a + \/_\ E; + \/ E, + \' E,.+ y a+v  srr , 9 °+9 ns D, ; D, D, I 26. L'équation x* — A = o, à laquelle se rapporte le théorème précédent, appartient à une classe d’équations remarquables qu'’il est intéressant d’étudier. Nous nous proposerons, à ce sujêt, la question suivante : Prosrème. — Trouver les équations du deuxième degré à coeflicients rationnels dont les racines se déve- loppent en des fractions continues terminées par les méêmes quotients. Si x désigne l’une des racines d’une telle équation, l’autre racine (n° 15) devra être de la forme ax—+— b RR ETE a.x—+b a, b, a', b'étant des entiers positifs ou négatifs liés par la relation (1) ab' — ba' =Æ 1. Cela posé, soit — P la somme des deux racines, on aura 1x — b P+x+ ; =0 n b' ù ou ? < a+b’> Ph +0 # (P+H—— | 2e+ —— ! a a ce qui doit être l’équation demandée ; mais, pour que la