SECTION I. — CHAPITRE IT. 53 “n —n puis E+ D, D, =À; mais, comme 0n aE}+D,_,D,=A, la précédente égalité se réduit à (() ; D/\‘4H e D,1_1. Les égalités(5) et (6) démontrent la proposition énen- cée ; 1l en résulte que, si la période des quotients com- plets de l’une des racines est E— vl A ; +VA Ez—2 +4/A E,, —A 0 S RE ; 9 s0.9 P D, es Ds (7) la période des quotients complets de la deuxième racine sera (9 E+ V Exs - VA uA E su S à 23058 ? SE e TR > DRs D, D, D Comme les périodes (7) et (8) se répètent indéfini- ment, les termes qui viennent après ceux que nous venons d'écrire sont respectivement E+yA E+VWA ue =0 PE A D D, et d’après la loi de formation des quotients complets, on aura R? — DD,, = À. Cette égalité montre que si les fractions continues aux- quelles se rapportent les périodes (7) et (8) ne sont pas périodiques simples, les dénominateurs des quotients complets qui termineront les parties non périodiques seront respectivement D;_, et D. Il résulte évidemment de cette remarque que la période des dénominateurs des quolionts CUmplCtS commence un rang plus tôt que la pé— riode des numérateurs des mêmes quotients.