59 COURS D’ALGÈBRE SUPÉRIEURE. comme étant la période des quotients incomplets de la première racine, et cette période sera en même temps celle que fournira le développement du quotient com- plet r,. Pareillement, on peut prendre la suite Un—1, Un—2) ++0, , a, Aj —1) ++ 05 Un+is Un pour la période de la deuxième racine, et cette même suite sera la période de la fraction continue égale au quo- tient complet x* —n° Cela posé, les irrationnelles x, et X. étant égales à ] ; n k—n c des fractions continues périodiqucs simples. dans les- — quelles les périodes sont inverses l’une de l’autre. *x I ; ; ë ; ; et — — seront les racines d’une même équation du .7'n deuxième degré à coefficients entiers. Si donc on pose , ; A ! . X RE l‘1,1 TV A ; n E}\.Î,, -— \"À_ En = —— » Zke—p = y n 1)/1 ])Î/, c , À, En, Dn, Ex y Dj , étant des nombrés entiers la , 7 \ q ! quantité x;_, sera égale à la valeur que prendra — — Tn quand on aura changé le signe du radical yA; en consé- quence, on a f'j Fj/r—n+\:\ E/7_‘/Â__l. s, Drs =.> les formules (3) subsistent pour n=0o eèt pourn= , Car.on a T,=x êt X, = x" il en est de même à l’é- gard de la formule (4), pourvu que l'on supprime l’in- dice o, quand les lettres D, E, D’, E" sont affectées de cet indice. La formule (4) donne O , E/f—n — Em