SECTION I. — CHAPITRE II. 47 quotient de rang m+ 1 etque cette période ait À termes on aura Pm Xm me1 > Pm+k'rm+k+ Pm+k———l Q 3) e ) ; SZ > QI.'L Em T an—l Qm+k'l m+k } Qm+k-—l avec ( F\ E PR (4) Em+k Yms chacun des nombres m et À pouvant être égal à 1. Si l’on résout par rapport à Xm €l Xm4+k les deux équations comprises dans la formule (3), puis qu'on égale entre elles les valeurs obtenues, on aura . > " mel" £ m—1 Qm+À—l"' _ Pm—+—k——l E rr > - > a J m QnL" F m+k- Q/H+/." équation qu’on peut mettre sous la forme O ) Laæ—2Mzx +N=0o, en posant, pour abréger S L— QI)L—1QIH+/.'— Qm Qm+k—n (6\j \2M =- Qm-—l Pm+k—Qm Pm+k—-l+Pm—l Qm+k'—Pm Qm+k—ly Pes< P EF > N Pm—ll m+k- F m [ m+k—1i* On voit donc que x est encore dans ce cas, l’une des racines d’une équation du deuxième degré à coefficients entiers. ConorLarre. — L’équation du deuxième degre à coef- ficients rationnels, à laquelle satisfait une fraction con- tinue périodique donnée, a ses deux racines de signes contraires si la fraction continue est périodique simple, et elle a toujours ses racines de méme signe lorsque, la fraction continue étant périodique mixte, il_y a plu- sieurs termes avant la pe'riode. En effet, s’il s’agit d’une fraction périodique simple x, l’équation (2) à laquelle cette quantité doit satis-