cr SECTION I. — CHAPITRE II. 4 en outre, nous savons que E, et D, sont des entiers et que, pour les valeurs de n supérieures à une certaine limite, ces mêmes nombres sont positifs. Considérons le dévelop- pement en fraction continue, à partir de cette limite. La formule (4) montre qu’alors on a constamment En<\'îâ la formule (5) nous donne ensuite, en écrivant 7 au lieu de n—1, D, 21/A et qs 2 /A, V V Ainsi lesnombres E,, D,, @n sont limités et les quotients complets x, nepeuvent avoir qu'un nombre fini de valeurs différentes. Donc, après un nombre d’opérations plus ou moins grand, mais qui ne peut excéder 2 \/Î>< \/Î ou 2 À, on retombera nécessairement sur un quotient complet déjà obtenu ; après quoi le reste de la série des quotients complets ou incomplets sera formé d’une même suite ou période de termes déjà trouvés, laquelle se répétera in- définiment. ' Il convient de remarquer que la relation (4) donne D,_,D, \ -\7 on aura D, < VA - et--PD,-