42 COURS D'ALGÈBRE SUPÉRIEURE. 19. On retrouve les résultats qui précèdent par la 1 E 5 ” =R ; , ; considération des réduites. Soit —* la (n + 1)!°M° réduite ,IL de la fraction continue égale à x; on a D à - ! nn —+ Pn—l M es — e m Qn"fi =t- Qn—l ou R- VX L (Pn En /3 Pn—1Dn.) e Pn \/K° SE r — D ( QnEn 4 Qn—l DIL) e Qn \"VA si l’on chasse les dénominateurs et que l’on égale en- suite de part et d’autre les parties rationnelles et les parties irrationnelles, il viendra ( 8 \! Qn En E Qn—l Dll S DP" S EQ… ! (9\' (DPn‘—— EQn ' E,+ ( DP, ; — EQn——l )Dn = ÀQn* En résolvant ces équations (8) et (9) par rapport à E, et D,, et en faisant usage de la relation P; Qn——l — Q/zpn——\ =( I,>llv on trouve ‘ y r ; \ (“)/) E" n ’(î_ ["Qn—l Qn—ï,DPn—l_ EQ1:—1\ (_DPH“ EQ/) ]s E X (11) D, = (_D‘_> [(DP, — EQ,)*— AQ*]; il est évident que la quantité entre crochets, dans l’ex- pression de E, ou de D, se compose de termes qui con- tiennent D en facteur, et d’un terme multiplié par le nombre À — E? qui est divisible par D. Donc les for- mules (10) et (11) montrent que E, et D, sont des en- tiers, ce que nous savions déjà; mais elles vont aussi nous conduire à un autre résultat fort important. Je dis effectivement que, si n est supérieur à une cer- taine limite les entiers E, et D, seront toujours positifs.