SECTION I. — CHAPITRE I. 3x Réciproquement, si les nombres entiers P et Q< P sa- tisfont à la condition (8), on peut être assuré que la frac- P E T. es tion Q se réduira en une fraction continue' dans laquelle les quotients formeront une suite 1‘éciproquc. ; aEtS “ Ë P ; ; , En effet, réduisons la fraction — en fraction continue, Q en nous arrangeant de manière que le nombre des quo- tients soit pair ou impair, suivant que le signe ambigu — exprime + ou — dans la formule (8). Alors, en désignant par n le nombre de ces quotients et par Q’ la valeur du premier membre de la formule (8), on aura P,Q—Q={—1)", mais E : ; ‘ crc P P ! étant la réduite qui précède — ou —, la for- n—1 n mule (6) a lieu, et, en la retranchant de la précédente, il vient P.(Q — Qn-—1\ =Q KQ/z — P;—1)3 comme P, doit diviser le second membre de cette formule, et que ce nombre est premier avec Q,, il doit diviser Q— Pn_1 ; cette différence étant inférieure à P,, elle doit être nulle, et l’on a Pr-1—0;, 0 ;= Q/‘ La première de ces égalités démontre la proposition que nous avions en vue. 15. Les résultats qui précèdent nous seront utiles plus tard ; mais il n’est pas sans intérêt de montrer dès à pré- sent comment on peut en tirer une démonstration fort simple d’une p1‘0p05itimiinlp01‘t&nt€ dans l’Arithmétique supérieure. Cette proposition est la suivante : l'atorème. — Tout nombre entier qui divise la somme