8 COURS D’ALGÈBRE SUPÉRIEURE. d’où, par la définition des nombres Xy, X2, »» »3 A A3 I . 2 ps x=—a+ —, x,=a+ —> ***3 Epsr—ansr t ? ds st # L*n Mais, si la quantité x est irrationnelle, aucun terme de la suite X, X1, X2, - - . Ne sera entierni même rationnel, et l’on pourra en conséquence prolonger cette suite indé- finiment. En effet, si quelqu’un des nombres x, X1, %2, est rationnel, il est évident que tous ceux qui le précèdent le sont aussi. Si l’on élimine les quantités x4, X2, - - +, Xp_1 eENtre les n premières des égalités (1), la valeur de x prendra la forme (2) xæ=a—+- J Un—i Ss Xn lorsque x est un nombre rationnel, il existe, comme on vient de le voir, une valeur de z pour laquelle xz est ® , = S c I « on peut alors supprimer la fraction — dans l’expression n p1‘écédenlc. Il n’en est plus ainsi lorsque x est une quan- tité irrationnelle, mais il sera démontré que, après la sup- 3 n . I ; pression de la fraction —, le second membre de la for- .7În mule (2) converge vers la valeur de x quand on fait croître le nombre » indéfiniment. Nous sommes ainsi conduits à étudier les expressions de la forme (3) a+ I . es — a,+, E où a, à,, da, -.. désignent des entiers positifs dont le