trôle, de 0,19 % seulement des éjaculats congelés, soit une propor-— tion infime (moyenne des années 1966 et 1967). Tout se passe, en fait, comme si la rapidité du refroidissement contribuait à unifor- miser l'aptitude des semences à supporter les effets de la congé- lation et du dégel, opérations qui détruisent, en moyenne, un peu plus de 2 %, des spermatozoïdes (tableau 2). Le pourcentage de spermatozoÏîdes retrouvés vivants à l'issue du traitement se révèle très constant : 65 %, pratiquement; aussi est-ce ce chiffre qui commande, dans nhos laboratoires, la détermination du taux de dilu- tion à adopter. r fs fs [ — eqs p e |s TABLEAU 1 — Pourcentage d'élimination des éjaculats après récolte et après dégel - Rennes (1966 et 1967) Nombre d'é- permatozoïdes vivants Nombre de jaculats avant con- | après | Diffé- dégel rence taureaux gx congelés relatlon TOTAUX !!llll%!lllllllllllllllllËlifl%llllll‘%älä%‘l‘lllËilË%lllllll‘l‘ TABLEAU 2 — Pourcentage de réanimation des spermatozoïdes après congélation rapide dans les vapeurs d'azote — Rennes et Plounévézel (année 1967) Centre 2- Fécondation des vaches La fécondation représente, en définitive, et jusqu'à présent, l'ultime critère d'appréciation d'une méthode de travail. Pour l'année 1967, 67 % des vaches ont été fécondées après première insémination (moyenne calculée à 60-90 jours sur 72 inséminateurs du Centre de RENNES, 101 taureaux, 289.578 vaches ) - 1058