( !568 ) ment ont sensiblement ies mêmes indices de réfraction, surtout lorsque ces indices sont ramenés, par le calcul, à des températures équidistantes de celles de leur ébullition. Raccord entre ces indices de réfraction paraît d’autant plus complet qu’il existe un moindre écart entre les expressions numériques des autres caractères physiques des éthers composés qui constituent le groupe. » Si nous comparons deux groupes ayant des équivalents différents, celui qui a le moindre équivalent paraît avoir aussi le moindre indice de réfraction, alors même qu’il a une densité plus grande, soit à zéro, soit à la température d’ébullition. » Pour deux éthers, formés par le même acide, il ne paraît pas exister de rapport bien facile à définir entre l’indice de réfraction et l’équivalent chimique ou la densité. En effet, si nous comparons, à ces divers points de vue, les valérianates éthylique et méthylique, nous voyons que, si le premier a l’équivalent le plus élevé et un indice de réfraction notablement plus considérable, il a la plus faible densité, soit à zéro, soit à la température d’ébullition. » De même, si nous comparons entre eux deux éthers composés à base butylique, le propionate et l’acétate, c’est le premier qui a l’équivalent le plus élevé, l’indice de réfraction le plus grand; mais il a la plus faible densité, soit à zéro, soit surtout à la température d’ébullition. » Il semblerait donc, s’il était permis de tirer une conclusion d’un aussi petit nombre de f&its, que la grandeur numérique de l’indice de réfraction, au moins pour les éthers composés, dépend plus de l’équivalent chimique du corps que de sa densité, que cette dernière soit prise à température constante, à zéro par¡exemple, ou qu’elle soit prise à la température d’ébullition normale. » M. P. (ieiivàis fait hommage à l’Académie de la 9e et de la 10e livraison de l’Ouvrage qu’il publie, avec M. VanBeneden, sous le titre « Ostéographie des Cétacés ». Ces livraisons contiennent la fin de l’histoire des Balénidés ou Mysticètes, rédigée par M. Van Beneden, et le commencement de l’histoire des Cétodontes ou Cétacés pourvus de dents persistantes, dontM. Ger-vais s’est chargé. Les planches accompagnant ces deux nouvelles livraisons ont toutes trait aux Cétodontes.