» ( .466 ) Il ne faut donc considérer cette exagération du mal dans les vignes du Midi que comme un fait général et essentiellement transitoire, mais ne le rattacher pi de près ni de loin a la grande question du Phylloxéra. » MÉMOIRES PRÉSENTÉS. constructions navales. — Sur le mouvement complet du navire oscillant sur eau calme. Relation des expériences faites sur l’Elorn, navire de 100 tonneaux de déplacement. Mémoire de MM. O. Buiiil deBenazé et P. Risrec, présenté par M. Yvon Villarceau. (Extrait par les auteurs.) (Commissaires : MM. O. Bonnet, Villarceau, Dupuy de Lomé, de Saint-Venant, Resaî). « Dans la première Partie du Mémoire que nous avons l’honneur d’adresser à l’Académie, nous avons exposé la théorie du mouvement comr plet du navire oscillant sur eau calme, d’abord dans le cas d’un liquide sans résistance, puis dans un liquide réel, c’est-à-dire en introduisant les résistances qu’opppse réellement tout liquide au déplacement d’un çofps immergé; dans la seconde Partie, nous avons décrit les expériences entre־: prises principalement sur /’jEYora, navire de ioo tonneaux de déplacement, dans le but de déterminer la loi de son mouvement oscillatoire. » 1. L’étude théorique nous a conduits à envisager le potentiel du système complet de l’eau ambiante et du navire. La détermination du potentiel d’un corps au repos revient à un problème de Géométrie, car il est complètement déterminé parla position de son centre de grayitéy Dans Je cas considéré, la position du centre de gravité du système dépend uniquement, la surface du liquide étant supposée invariable, de !’inclinaison 0• donnée au navire, et de la distance y entre la flottaison actuelle et une flottaison parallèle détachant une carène de poids P égal au déplacement. On a donc entre le,potentiel [II] et les variables 0, y une relation qui peut être représentée par une surface topographique, en donnant à [H] diffé^ rentes valeurs correspondant aux courbes de niveau. La considération de cette surface permet de définir avec plus de netteté, et d’une manière plus générale qu’on ne l’a fait jusqu’ici, ¡a condition de stabilité du navire sur eau calme, en assimilant, par Je fait, celui-ci à un cprps pesant qui roule sur tme surface topographique, et nous ayops pu énoncer le théprème sui?. vaut :; ; ; ; . . . , - ׳ , ׳ . ■־ ^ La région de stabilité d’un corps flottant quelconque, pour la position