( i4!6 ) de vue est que la trichlorhydrine Ti2O2C4H5.Cl3, qui est connue, s’unit directement aux chlorures des radicaux d’acides et au chlorure de titane, pour donner naissance aux premiers composés. Cette trichlorhydrine s’unit aux différents éthers. Dans le cas particulier de l’éther acétique, on a le produit Ti2 Cl3:02 G4H* [C4 H3O4 C4 H5] = Ti2Cl2[02G4H5]2,C4ïP02Cl, qui est intermédiaire entre les corps (2) et (3), et qui, uni au chlorure d’acétyle, reproduit le corps (3). )> L’existence d’une combinaison contenant un excès du chlorure de benzoïle plaide également en faveur de cette manière de voir. )> On obtient, dans le cas de l’éther benzoïque, la série complète des composés [Ti2Gl4]2Ci4H5 O4 G4 H5 = Ti202C4H5.Cl3,Ti2Cl4, G14 H5 O2 Cl, Ti2Ci4, Ci4H504C4H5==Ti202G4Hs.Cl3, Ci4H502Cl, Ti2 Cl4, G*4 H5 O4 G4H5, (CI4H502C1)2 =Ti202 G4H5 Cl3, (G14H5O2Cl3), Ti2Gl3. G4II5O2, G14H5O4 G4H5 = Ti2 (O2G4H5)2 Cl2, G14 H5 O2Cl, Ti2Gl4.C44H5O4G4H5 = Ti2(O2G4Hs)2Cl2, (Ci4H502Cl)2. )> Le mode de décomposition de ces corps s’accorde également bien avec l’hypothèse de cette constitution. )> Les sulfures et les suif hydrates des radicaux alcooliques se comportent avec le chlorure de titane de la même manière que l’éther normal. Tous ces composés se rattachent d’une manière très-simple aux combinaisons précédentes, en écrivant comme il suit leur formule brute : Ti2Cl4, G4H5.HS2 ־= Ti2S2C4H5.Cl3, HCl, Ti2Cl4, [C4H5]2S2 =Ti2S2C4H5.Cl2, G4H5C1, Ti2Cl4, (G4Ti5. HS5)2 = Ti2 (S2G4H5)2Cl2, (HCl)2, Ti2Gl4, (G8H40S2)2 = Ti2(S2C4H5)2Cl2, (C4H5C1)2. » Les deux premiers sont rouge noirâtre et cristallisent mal ; le troisième •est d’un rouge écarlate vif ; le quatrième est d’un beau rouge foncé. Ces deux derniers sont fort bien cristallisés. L’eau, l’alcool, les éthers les décomposent en mettant en liberté l’éther sulfuré. )> Je vais indiquer, en terminant, l’existence de deux corps intermédiaires entre les combinaisons oxygénées et sulfurées; leur formule indique leur