)) ( l/!o3 ) J’ai remarqué que les raies du spectre du métal allié disparaissent à mesure que sa proportion devient moindre, les raies les plus courtes disparaissant les premières. Bien que l’on ait ici les premières données d’une analyse spectrale quantitative, cette méthode n’est pas encore applicable; mais d’autres recherches, qui sont en progrès, promettent des résultats beaucoup plus exacts. )> J’ai discuté l’influence de ces résultats sur notre connaissance de la couche absorbante du Soleil. » PHYSIQUE. — Réponse à la Note précédente de M. Raynaud, sur les résistances maxima des bobines magnétiques; par M. .Tu. du BÏONCEL. « Je suis encore obligé de faire observer à M. Raynaud qu’il me fait dire ce que je n’ai pas dit. Je n’ai, en effet, jamais prétendu que je nombre des tours de spires d’une hélice magnétisante, d’un diamètre invariable, ne fût pas proportionnel à la racine carrée de la résistance de cette Hélice, quand on fait varier la grosseur du fil; bien loin de là, je me suis servi de ce rapport pour comparer les forces attractives de deux électro-aimants de meme diamètre, enroulés avec des fils de différente grosseur, et d’une longueur telle, que la résistance de l’un fût égale à celle du circuit extérieur, et que la résistance de l’autre fût supérieure à cette dernière dans le rapport de i à (i ־+־ ~ j • Cette comparaison, ainsi qu’on peut s’en assurer dans ma Note insérée dans Les Mondes du 29 mai 1873 (p. 192), entraîne en effet le rapport 2 1 2^/2 c 2 + - ct Vi+« Z F7 F représentant la force avec II =: R, F'représentant la force avec H = R + - ), et c étant égal à a avec une valeur de i. » J’ai dit simplement qu’en réalité le nombre des tours de spires d’une bobine magnétique n’est pas représenté par la racine carrée de là résistance de cette bobine, ce qui est bien différent au point de vue où je me suis placé. En effet, comme la valeur réelle ou absolue de t est et que celle de II estüMfj+if) S 1 on ne peut admettre d’une manière générale que la première de ces deux