( >3p6 ) M. •J. Vinot adresse une Note relative à la théorie des parallèles. (Renvoi à la Commission nommée pour les questions relatives à cette théorie.) CORRESPONDANCE. astronomie. — Sur la théorie des taches et sur le obscur du Soleil; par M. E. Vicaire. <( En discutant la théorie des cyclones solaires, j’ai fait remarquer que les effets de dépression attribués par M. Faye à ces cyclones sont hors de proportion avec la grandeur de la cause. L’éminent astronome m’ayant répondu, en s’appuyant sur les observations de M. Respighi, qu’on voit l’engouffrement de la chromosphère se produire au-dessus de taches, j’ai répondu à mon tour : « Peut-être cet abaissement de la chromosphère, à » le supposer démontré, pourrait-il s’expliquer (et non s’appliquer, ainsi » que me lé fait dire une faute d’impression) de bien des manières; mais » il est formellement contesté par le P. Secchi». Et j’ajoutais quelques développements empruntés à une Lettre de l’éminent astronome romain. » Actuellement, M. Respighi maintient l’exactitude de ses observations, et M. Faye celle de la conclusion qu’il en a tirée. » A mon tour, je demanderai la permission de laisser au P. Secchi le soin de défendre une assertion qu’il n’a pas émise à la légère. Je ferai remarquer seulement que je ne m’étais pas adressé à lui pour le prier de me tirer d’embarras, comme M. Faye le suppose. C’est de sa propre initiative, en me répondant à propos d’une autre question, que le P. Secchi voulut bien me communiquer un fait qui intéressait la discussion pendante. » Mais, tout en profitant de l’appui que m’apportait une autorité aussi considérable, je me suis bien gardé de prendre parti entre l’illustre observateur du Collège romain et celui du Capitole, sur une question de fait dans laquelle je n’avais qu’à déclarer mon incompétence. Mà position est beaucoup plus simple : si le P. Secchi à raison, un argument regardé par M. Faye comme tout à fait décisif se trouve écarté; sinon, il reste encore à savoir si cet argument est vraiment décisif, et si, comme je le disais, le fait n’est pas susceptible de plusieurs explications. » A vrai dire, l’opinion de M. Respighi s’accorderait peut-être mieux que celle du P. Secchi avec ma propre théorie. L’abaissement ou la suppres-