( !358 ) la température absolue. De même on a |1 co2 c2 == x. IT, expression dans laquelle x = h”, e2, parce qu’on démontre que le carré de la vitesse angulaire des molécules est proportionnel à la température absolue. L’énergie actuelle de la molécule, comme système de masses fixes, est donc k'T ־־b xIT =(A;/ ■4- >cl) T. » Mais les atomes ne sont pas fixes dans la molécule ; chaque atome ni a une vitesse de vibration et comme \mv2 = k. T (l’énergie totale étant proportionnelle à la température absolue, ainsi que les énergies de translation et de rotation), il suit de la que l’énergie actuelle de vibration atomique de la molécule est \2hïv* = k.nT.■ )) Donc V énergie actuelle de la molécule est, en définitive, (2) A = (A' 4- k. n .4־ xi) T, les trois termes étant l’énergie de translation, de vibration et de rotation. )> D après Clausius on peut poser kf =: 3; de plus on a A = i, pour les gaz; donc l’équation (2) devient (3) A == (3 ■72 ־+־ + x.I)T\ - )) Mais l’énergie totale E d’une molécule est la somme: i° du travail extérieur x exécuté par la molécule; 20 du potentiel P de la molécule dans la masse; 3° du potentiel 2p des atomes dans la molécule, et 4° de l’énergie actuelle A, c’est-à-dire (4) E = ■oc -f- P -f- *4- A. )) Pour les gaz on a, d’après G. Schmidt, x =!aT. Si la température du gaz est très-éloignée de la température de dissociation, on a ^ = o. Pour 1 / . d P tous les gaz nécessairement, — = p׳ n’a qu’une petite valeur : donc la chaleur spécifique S d’une molécule d’un gaz quelconque, sous pression constante, sera, d’après les formulés (4) et (3), (5) S = ~ = 5 -!- n -i- //-i- x.I. » Les expériences de M. Régnault donnent s, la chaleur spécifique des gaz sous pression constante pour le volume égal à celui de l’unité de poids d’air atmosphérique. La valeur de la chaleur spécifique moléculaire