( i3o3 ) est moindre, ou que le diamètre des poulies est plus petit; en approchant le rhéophore de Tune des poulies, on trouve un point à partir duquel les phénomènes lumineux disparaissent du côté de la poulie la plus voisine, et dont la position dépend également de la conductibilité de là courroie et du diamètre des poulies. Avec les poulies non conductrices, quel que soit le point touché par le rhéophore, on aperçoit des tensions tout le long de la courroie, et, en apportant simultanément les deux électricités en différents points, on peut réaliser les distributions observées plus haut. » PHYSIQUE. ־— Sur les .conditions de maximum d’effet magnétique dans les galvanomètres et les électro-aimants. Note de M. J.Raynaud. <( La question de la résistance à attribuer à un galvanomètre ou à un électro״aimant, pour obtenir l’effet maximum correspondant à une force électromotrice et à une résistance extérieure données, peut être envisagée de deux manières : on peut se proposer de déterminer !’épaisseur de la bobine, c’est-à-dire le nombre de tours qu’il convient de faire autour du cadre pour utiliser le mieux possible un fil de diamètre donné¡ ou de déterminer le diamètre du fil à employer, de manière à utiliser le mieux possible un poids de cuivre donné. Les deux problèmes se mettent en équation de la même manière, et l’on obtient une expression commune pour l’effet magnétique qui, dans le cas particulier traité par M. du Moncel dans sa Note du io avril (Comptes rendus, p. 369), est représentée par -p ___ ab[(a c)tc 2.ci] » Il n’est donc pas exact de dire, comme M. du Moncel dans ses Notes du 10 avril et du 12 mai, que c’est à qu’on suppose, dans le second problème, que le nombre des spires est proportionnel à la racine carrée de la résistance de la bobine. Cette proportionnalité est vraie dans les deux cas. L’expression de F peut ensuite être différentiée, soit par rapport à l’épaisseur a, soit par rapport au diamètre g. Dans la première hypothèse, la condition de maximum est que la bobine doit avoir une résistance supérieure à la résistance extérieure, d’une quantité ^ [ne + 2 d\ représentant la résistance d’une longueur de t = ^ tours de la première couche. Dans b la seconde hypothèse, la résistance doit être égale à la résistance extérieure, et même, en tenant compte de l’épaisseur de la soie, à la résistance extérieure, dans le rapport du rayon du fil au rayon augmenté de cette épaisseur. Il importe de remarquer qu’un électro-aimant, construit d’après les 167..