( I294 ) translation de la Terre sur des phénomènes lumineux produits à sa surface, !’observateur, le corps transparent et même, en général, la source de lumière n’ont aucun mouvement relatif, et possèdent, par rapport à l’éther, une vitesse commune, dont ]‘,appellerai V!, V2, Y3 les composantes suivant les trois axes; il est alors plus avantageux de rapporter les déplacements à un système d’axes des x',yf, z\ parallèles à ceux des x, y, z, mais animés de ce mouvement, ou, ce qui revient au même, de supposer !’observateur, la source et le corps transparent en repos, tandis que l’éther serait emporté avec une vitesse égale et contraire (־— — Y2, •־—V3). Si l’on admet que, pour t = o, l’origine des coordonnées x', y', z! coïncide avec celle des coordonnées x, y, Z, et si l’on observe que les composantes Y!, V2,V3 de la vitesse relative dé translation peuvent être supposées constantes pendant un intervalle comparable à la durée d’un grand nombre de vibrations, on aura, entre ces coordonnées, les relations simples (1) x = x'-h Yî¿, V2¿, > = z'-f-Y3i,. et les déplacements vibratoires u, v, w,■un V!, w4, fonctions de x, y, zf t, deviendront des fonctions de x', y', z\ t'y en accentuant provisoirement la variable £' = t. Leurs dérivées se transformeront, par suite, au moyen des formules symboliques f . d d d ____________ d d______ d d ______ d __ d ״ d _ d ! ' dx dx1 ’ dy dyr * dz dz ’ dt dtr 1 dx' 2 dy' 3 dz'* et la première des trois équations indéfinies du mouvement, établie au § III cité (formule 33), ■v3 d dy •va dx ■v. ■pi d2 u : P ~dF . dO (* 211 ou X, ¡x, p désignent les deux coefficients d’élasticité et la densité de l’éther, p( la densité de la matière pondérable, 0 la dilatation cubique du dv dw dx dy dz de l’éther, A2 l’expression symbolique d2 d2 d2 dx2 dy2 dz2* deviendra