( 12.38 ) » Nous avons joint, d’après les expériences, les valeurs ii6 et Tle de l’allongement, et du travail correspondant à la charge de i6k,7_ï5x *o6 qui a suffi, pour rompre le bronze ordinaire de la fonderie de Bourges. Rapports. Bronze de Bronze Bronze Chiffres donnés par Bronze de Bronze Bronze Bourges. phosphoreux. Laveissière. Poncelet. Bourges, phosphoreux. Laveissière. E.. 7k,58 9X1 o9 8,25o 9,°6i 7>°° I ,00 1 >°9 1,20 R,. 8k,96iXio6 8,667 11,210 7,3o I ,OO ° >99 I , 25 ie.\ im, 182x1°־ 1,222 3־ I ,125 1,04 I, OO 1,04 0,96 T,. 5km,29oXio3 ; 5,595 6,3o6 ; 3,8o 1,00 1,06 1,19 Rr. i6k,7!5xio6 21,827 26,270 1,00 1,31 1,57 ir . . 36m,5xio־ 3 47 j°° 177 ?° I ,00 1?29 4,85 li 6• • 3m,65xio־ 3 I ,02 0,68 1,00 0,28 0,15 Tjg• I29km,2Xl03 5i,10 * 7»2 1,00 0,39 0,06 Tr. i29km,2X!o3 254,4° 962,4 I ,00 1 >97 7,45 » Nous avons pu, de cette façon et dans le même tableau, insérer les coefficients de Tredgold, reproduits par Poncelet, et chiffrer les rapports des divers coefficients pour les différentes matières, en sorte qu’il nous suffit maintenant de rappeler ces résultats à titre de conclusions. » !° Les coefficients d’élasticité E se classent pour les trois natures de bronze B, P et L dans le rapport de 1,00, 1,09, 1,20. » Le coefficient d’élasticité est ainsi augmenté du cinquième de sa valeur, lorsque l’on passe du bronze le moins résistant au bronze le meilleur. >/ 20 Les bronzes B et P ont la même limité d’élasticité. Celle du métal L excède cette valeur de \ environ. » 3° Les allongements qui correspondent à cette limite sont dans les rapports de 1,00, 1,04, 0,96, ce qui revient à dire que rallongement correspondant à la limite d’élasticité est presque le même pour les trois matières. » 4° Le travail mécanique nécessaire pour les amener à cette limite varie de 1,00 à 1,06 et 1,19, c’est-à-dire dans le même rapport que le coefficient d’élasticité. )> A ces divers points de vue, le bronze phosphoreux est meilleur qne le bronze ordinaire; le bronze Laveissière est notablement supérieur aux deux autres. )) Cette conséquence est encore bien plus manifeste en ce qui concerne la rupture, puisque les coefficients varient alors comme suit : 1 ?°0 Rr I ,00 i ,3! B. P. V I ,00 1*97