( "97 ) analogue à [a, /3] par rapport aux variables c’est-à-dire posons ' da cl§ da d§ T /2׳1־ * aP aa "P \ . [«. P] =2 (,Tq; 5p¡ ־־ JF, 3q,) ’ on déduit très-facilement de la formule précédente des perturbations = + P-I(/3)[«>/<] + ... 4- p.2r(i3) [a,/;r]. » Cette équation donne la généralisation de la solution d’un problème que Jacobi considère comme très-difficile, et qu’il se propose dans les termes suivants (Nova'Methodus, § XXXVIII, p. iq5) : « Quum propter rei utilitatem tum propter egregiam ejus difficultatem, tum quia accu-» rate examinare juvat, quæcumque spectant ad expressionem [, ÿ] tantis proprietatibus » gaudentem, etc. » » La formule à laquelle Jacobi est arrivé par des calculs très-compliqués se rapporte au cas où les équations de condition sont assujetties aux restrictions indiquées ci-dessus; notre généralisation, loin de compliquer les raisonnements et le résultat, les simplifie en faisant entrer de la meme manière deux sortes de fonctions qui semblent tout à fait distinctes dans la question de Jacobi. » NAVIGATION. — Régulation des compas sans relèvements. Note de M. Caspaiu, ״ . présentée par M. Jamin. (( L’erreur des compas, due aux fers des navires, varie avec la latitude magnétique. Les méthodes d’observation des déviations ne permettent pas de séparer les éléments dont la connaissance serait nécessaire pour prédire ces variations d’état magnétique. Le mode de vérification en cours de campagne s’appuie sur des observations astronomiques, qui deviennent impossibles par temps brumeux : or, c’est surtout dans ces cas qu’un navire a besoin, pour atterrir sûrement, de connaître les erreurs de ses compas. » Les mesures directes de déviation étant impossibles, j’y ai substitué le moyen pratique le plus simple de mesurer une fonction de la force horizontale totale, et d’en déduire la valeur de la force perturbatrice. Pour cela, je mesure la déviation de l’aiguille du compas produite par un aimant placé au-dessus de celui-ci et tournant autour de son axe vertical. Le couple produit ainsi a toujours la même valeur, pourvu que l’angle des deux aimants reste le même; il peut servir par suite à mesurer l’action combinée de la terre et du navire à laquelle il fait équilibre.