( ”95 ) narres, mais en les plaçant entre parenthèses; ainsi représentera la dérivée principale de a.par rapport à Nous aurons alors ce théorème : » Théorème. — Imaginons 2 n — 2 r fo ß des 2 nvariables qh p¿, et supposons entre ces variables les 21• équations f \ o, Jîÿ =. o,j = o ; alors, en désignant par a une fonction ces variables, on a ces formules extrêmement simples ; \ 2ud$\dqi)\y■ \dPi) ~2־àdj w Ainsi le théorème élémentaire relatif à la dérivée d’une fonction composée est applicable aux dérivées principales. j> Imaginons maintenant que les variables qh ^ satisfassent à l’équation... ,V ■ ,№ = ־ dp, dt àq{ dpi dt % dctn , ■OPn — ־*־■ dt dq-> * dt ¥ dp< dqx dt dans laquelle la caractéristique § indique les variations des quantités qh p; assujetties aux équations (1), et H est une fonction de ces 211 variables. On en conclut les 2n équations suivantes : df/i _ /d___________ __ /i/H\ dt \dp¡)' dt ~ ~ \dÿ¡), dans lesquelles les seconds membres désignentdes dérivées principales. » Ces équations renferment, comme cas particulier, les équations de la Dynamique données par Jacobi ( Novamelhodus, t. III de ses Œuvres, p. 2iG). On obtient ces dernières en supposant que ne ren- ferment que les variables q, et que l’on pose fr+t=[f,H], » Les 2 n variables q¡, p¿peuvent être remplacées par 2/2 — varia-■ blés Q,, Q״,..., Q״_r, P,, P¡¡,..., P״_r, indépendantes entre elles, et qui satisfont aux an — 2 r équations différentielles dQ¡_ dü_ d dU dt dPf r/Q¡" » Quand les équations de condition entre les variables disparaissent, le problème des perturbations se résout par des formules dues à Lagrange, ou !53..