( "27 ) ». Si /, = o, /a = O= O sont 7/z équations renfermant 22 variables indépendantes q{, q2,.. .,qn,et les dérivées partielles .,p,n prises par rapport à ces variables, d’une fonction , qui d’ailleurs n entre pas dans ces équations, pour que ces équations admettent des solutions com-inunes, on sait que, en posant 4A 72, et il suit de là que l’on peut arrêter les calculs lorsque le nombre des équations égale celui des variables. » Mais, pour décider de la possibilité ou de l’impossibilité du problème, il ne faut conserver que des équations réellement distinctes, et, pour cela, il importe de connaître les relations qui existent a priori entre les fonctions diverses que l’on obtient en effectuant l’opération (1), soit avec les fonctions proposées, soit avec celles qui résultent déjà de cette opé-ration. » Ces relations sont remarquables et nombreuses, et les résultats aux-quels je suis parvenu sont absolument indépendants de toute hypothèse particulière sur là forme des fonctions. » J’appelle fonctions complexes celles qu’on déduit des fonctions pro- posées/2,. au moyen de l’opération (1), et, parmi ces fonctions complexes, je distingue, sous le nom de fondions celles qui sont formées par des combinaisons successives de fonctions simples , J11 • • • ר Jm• .־ Cela posé, en partant d’un lemme dû à Jacobi, je démontre d’abord