(!666 ) nirnurm Celte quantité correspond à ôgr,oi3^5 de fluorure de sodium,׳ et comme I eau de Néris ne contient, d’après les analyses de Berthier, que ogI, 83 de sels solubles par litre, ou voit que le fluorure de sodium y existerait dans la proportion de i,6 pour ioo. Lè fluor joue donc ici Un rôle minéralisateur très-important, et nous ne croyons pas qu’il ait jamais été signalé eu aüsSi forte proportion dans aucune eau minérale. » En résumé, íes eaux cíe Vicíiy, de Ñérís et de' Êoürî)ôn-PÀrclia.mÎ) contiennent certainement de l’iodé; mais la proportion en est ëxcessivé־־ mént iâiblë. On y trouve surtout du brorrië en quantité parfaifèmehi dosàbfe. » Le rôle du fluor dans ces eaux, comme agent minéralisateur, est beaucoup plus important qti’dn ne l avait soupçonné jusqu’ici; l’eau dé Néris surtout est très-remarquable sur ce point. >) Cës mêmes eaux ou leiirs dépôts renferment une foule de corps, cOiiimë Tàrseinc, lé zinc, îé plomb, le cuivré, etc., qui en attestent Î’ëxirémè complication, et dont lâ préséUcé servira pëüt־־étrë à éclaircir un jour les causés de leurs propriétés tbérapëutiqüés. » PHYSIOLOGIE VÉGÉTALE. —־ Examen des différences présentées par le spectre de la chlorophylle selon la nature du dissolvant. Note de M. J. Ciiaütaiid. (Commissaires : MM. Dumas,< Freniÿ, Edm. Becquerel.) a Bien tjüe 1 action dés dissolvants àit été indiquée par léà divers savants qüi se sont occupés dàliS ces dérUièrs temps, en Allemagne (i), du spectre de la chlorophylle, je crois nécessaire, pour compléter mes recherchés, de décrire uh certdîn fiôinfbrë dë fa:ííá, passés jusqèftci sous silence, et se rapportant à cette Question. Ld chlorôphÿlle ii’ést pás absôlümëut insoluble' dans l’eáíí; ceUè-cî peüt éti /eieriir (JÜelqtiës millièmes, fait faôilë aconstater par 1 apparitioh de la bande noire spécifique du rouge. Cette solution, faite à froid à l’aide dé feuilles de lieTrë par exemple, résiste a l’ébullition et à un repos proIOUgé de plusieurs sernâin'ès dans rôbscurité. » Si 1 eau, au lieti dé fá neutralité qui lui est prôpre, est féndüe acide ou alcaline, elle se comporte différemment. Dans le premier cas, tôüte trace dé solubilité disparaît, et là chlôrophy'ïle altérée, reprisepdr !,alcool, donne (i) Ces rêcliercheà sont ôpcciiUeiÀerit reídiMs àüx ■ áítémióii¿ (¡\id thé 'sdìiilìótts dà chlorophylle éprouvent, soit d'une manière sp on tancé,׳ soit soùs !’influencé des acides¿