( ior5i ) et le peu qui en est resté a laissé au verre un aspect légèrement blanc et graisseux, que la potasse a fait disparaître. » Quant à la solution aqueuse, elle était jaune eau-de-vie, très-acide, mais moins opaline que la précédente; d’iitîë odeiir fbriiiitjuè plus prononcée, elle sentait beaucoup moins la métacétohè, fcc t[üi tiélft sans doute à ce que !,opération avait duré ttioiris longtemps. » Évaporée siif la lame de platine; elle a donné Un résidu fixé, jatlhé de cassonade, qui,־ chauffé plus fortement, a gonflé beàüCbUp, eii laÎSsàiit Üh charbon complètement combustible et répandant dès odëitfs ëitipÿréiitnà-tiques analogues â celles que donnent les tartrates Ou le sucre bridés. )) Saturée à moitié par la potassé et reprise par Un mélangé à! volùriiës égaux d’alcool et d’éther; il s’est fait un précipité qui; vu ati microscope, avait l’apparence de la levûre de bière. )) La liqueur de Fehlitig, le nitrate d’argènt à chaud, lé bichlorUre de mercure ont été réduits avec énergie; l’oxydé de mercure aussi, niais plus difficilement. Enfin la levùre de bière n’a pas: déterminé dé férmëh-tation. » Que conclure de ces caractères, presque tous négatifs? Rien évidemment aujourd’hui en ce qui touche la nature des espèces chimiques efigèh-drées, mais beaucoup ait point de vite d’un procédé qui engendre dés espèces chimiques aussi complexes et certainement nombreuses. w L’effluve, en effet,* ne s’arrête pas, comme on pourrait le dédùife dé l’expérience de sir Brodies, au gaz dès marais : elle va bien aü dfela ; accumulant* au contraire, les atomes les uns sur lès antres, elle les fait arrivér aux corps les plus compliqués. M. Berthelot pense UiêttieqUe fcés produits dérivent de la condensation de l'aldéhyde formique C2Ii202, qui Serait lé produit initial de la réaction entre l’oxydé de carbone et l'hydrogéné unis à volumes égaux, nous l’avions nous-mêmeS supposé à propos dé l’union de l’acide carbonique et du gaz des marais. Cependant il né faudrait pas croire que l’effluve ne soit pas également capable de dissoudre certains corps organiques. Mais lesquels? Nous en pouvons citer Un; l’acide •acétique, qui, soumis à son influence, dégage dé l’Oiydè dé carboné ou dU gaz des marais, laissant un produit brun; soluble dans la potasse, ët plUs OU moins semblable à un de ceux que nous avons trouvés dans notre premier tube. d En terminant, et pour la troisième fois, nous dirons : il faut créer des appareils nouveaux et propres à Ce génie d’expériënèès, polir obtenir tout à la fois qualité et quantité. Réitësîro'ris-nbus bientôt? Nous l’espérons. i>