3 = Q. Chaleur ! ( l°44 ) Poids de la Composition du liquide potasse, KHO! Densité. additionnelle Calcul, pour employé. dans 1 kilogr. (dissolvant). Trouvée. 200 H2 O5. tO06, 3 +־ IPO^jalurcc) gr . . 503 1,532 vers 16° +41 ip 02 +2,41 +2,38 , + 3,28...... ... 488 1,512 à 12° +42,5 + 2,14 +2,11 .........3,52 ו- 470 1?499 à 13 +44 >3 +1,98 + 1,95 -4- 4,11 ..... 43! 1,452 à 12,5 +5o +1 >44 + 1,41 + 5,20 . . 379 1?392 à 12,5 +60 +0,98 +0,95 + 7,02.. . . . . .'. . 307,5 1,307 à 14>5 39־1־ +0,60 +0,57 + 11,00 . 221 1,215 à 15 +60 -f-o, 16 +0,13 + 15,3 ......... 169 1,167 ‘d 10 +19 —0,035 —0,06 ........ 15,3+־ מ » + 17 +0,045 —0,06 + 32,3 ...... ... » » + 21 —0,035 0,0.6—־ +46 ... מ I , 062 +46 —0,03 03ל°— ......... 48+־ מ » +48 —0,035 . —0,03 +54 » 1,053 +54 —0,028 —0,03 +55,3 f1éq. = 11.) » 1,052 à 11,5 +56 —0,026 —0,025 +64,6 ...... ... » 1,044 +65 —0,024 —0,025 +111 (1 éq.—21.) » I ,026 +110 —0,00 —0,00 » Au delà de iooH202, la dilution ne produit plus que des résultats in■ cnncihl 0c » 5. Ce tableau peut être représenté graphiquement par une courbe hyperbolique, qui indique un décroissement très-rapide de la chaleur de la dilution avec la quantité d’eau déjà combinée. Il est plus rapide que pour les hydracides, c’est-à-dire que la combinaison entre l’hydrate de potasse et l’eau se complète bien plus vite que celle des hydracides, pour un même nombre d’équivalents d’eau surajoutés. Le tracé graphique ne répond pas d’ailleurs à une courbe simple, la courbure variant rapidement à partir de 7 112O2 et la courbe passant au-dessous de Taxe des a? vers i4H202 (valeurs négatives) et s’en écartant d’abord à une faible distance, pour' s’en rapprocher ensuite asymptotiquement. » Au voisinage de 20 à 25H202, il existe une solution telle, que la plus petite addition ou soustraction d’eau donne également lieu à une absorption de chaleur : phénomène que les tensions de la vapeur d’eau émise par les solutions de potasse, telles qu’elles sont connues par les expériences de M. Wüllner, ne permettaient pas de soupçonner. » Ce changement de signe paraît indiquer que, la combinaison entre l’eau et la potasse étant devenue complète, les effets ordinaires de la dilution des solutions salines se manifestent. En effet, le mélange mécanique de l’eau avec une solution saline répond à un certain travail de désagrégation physique, faible d’ailleurs, mais qui s’accomplit avec absorption de chaleur.