(%p) >> Tels sqn{; lqsj f ésiiltifts de me$ preiniprçs recherches. Il est présumable qpe les sels de tétrétl!y]amîpQînum? de tétraprqpylammoniun}, fie tétra-butylammopUim et, sans doute, ceux qqi correspondent à d’autres alcools, produiront des effets semblables. S’il en est ainsi, j’aurai signalé un groupe nouyeau et très-npmbreux de poisons curariques. מ Mes expériences pnt été faites, dans le laboratoire dp M. Rpbin, en partie ayec l’aide cleM. Ctp Legros, professeur agrégé, avec des iodirres de téframéthyle et de tétramy]ammonium qui m’ont été remis par M. Frédéric Würtz, de la Pharmacie centrale de France, qui les avait préparés lui-même. » géologie. ־־־ Sur ïâge du soulèvemen t du mgrit Lozère, îiote de M. G. Fabre, présentéepar E)aubrée. « Le mont Lozère constitue un vaste plateau d’une altitude moyenne de 1400 mètres, et d’une superficie d’environ 300 kilomètres carrés; c’est la protubérance granitique la plus élevée de la France centrale. La ligne de faîte, presque rectiligne, est dirigée 106 degrés (1) avec une hauteur moyenne de 160a mètres ; sur un parcours de plus de 20 kilo״־׳ mètres, elle ne s’abaisse pas au-dessops de la cote 1550; il s’élève jusqu’à 1 702׳ mètres. מ Tout autour de ce haut plateau, et à un niveau inférieur, sont dissé-minés divers lambeaux de terrain jurassique, témoins évidents d’un dépôt jadis continu. Ils ont été en partie signalés par les géologues (2), mais, d’après nos observations, ils se relient entre eux d’une façon bien plus intime qu’on ne le croyait, et en définitive ils ne manquent absolument que sur 18 kilomètres, entre le col de Champlong (Lozère) et le Chaylard (Gard), c’est-à-dire dans une partie de la chaîne des Cévennes où les dénu-dations ont attaqué très-profondément la masse même des roches cristal-lines, et où, par conséquent, il ne peut rester aucune trace de terrains sédimentaires. » Au premier abord, il semble naturel de considérer ce plateau élevé du mont Lozère comme ayant formé une île jurassique; telle est en effet (1) Les angles sont comptés de zéro à 18p degrés à partir du nord vrai, dans le sens du mouvement des aiguilles d’une inoptre. (2) PuruÉNpy et E. pe Beaumont ¡ farte géologique de France. ■— E. Dum^s, Çartç géo-logique du département du Gard, — Lan, Ménioire sur les filons des Cévennes [Ann, des Mines, t. VI, 5e série; 1854).