( 858 ) nous aurons Successivement — a'+ 2c׳p-he׳in +3g'/j2 -f- 2h'/)/n+ k'm2 = b ■+• ep -t- iîm-t- h p2 -+-2kpm +- 31;m2h + 2C/ + epin +. a p ( dzj \dm dÇ ptp = a'—b + ( a c' — e) p -f- (e'— 2 f) -i- (3g'-- b) -f- (2 h' — 2k) pm + (k'— 31)m־ r/p. / dW\ dp \ dm J dï Ç + />^ = Ç; H- 2 a"/) -+- b"/« -f- 3c״/r -i- 2e" pm + Or ces deux derniers développements devant être égaux, en vertu de l’équation de condition (63), quelles que soient les valeurs des variables /? et m, on en déduit, entre les trois suites de coefficients, les relations a' — b = Ç¿, 2 c' -— e = 2a״, e'— af = b", , 3g'—h = 3c", 2h' — ak = 2 e", b' — 31 = f".... (65) (66) » Substituant dans le développement de Ç les valeurs de Ç¿, a", b", c"... que donnent ces relations, on obtient cette expression de £ Ç = ~ sin (Z'—־ Z) = a'— b + ^c'— ~ e^ p -f- (e' — 2 f ) m 4־- ^g'p2 -4- (h'־־־־ k)pm ־־h (k'—- 31)/?22־h.... » Les inconnues sr¿, p¿, a, b, c,...., a', b', c',... s’obtiendront en résolvant simultànément les deux premières équations (6/!) et l’équation (66), au moyen d’un nombre suffisant de systèmes de valeurs censées connues de sr, p- et Ç. Dans ces équations, les quantités observées sont engagées sous une forme qui rend immédiatement comparables les erreurs de leurs premiers membres. La possibilité de représenter les données au moyen d’un nombre beaucoup moindre de coefficients offrira un moyen de contrôle auquel concourront à la fois les longitudes, les latitudes et les azimuts. » Soit M = p-p^ p,¿ 4־ bp ־+־ b' /72 4־ - ep2 -f- 2Îpin -1- f'/722 4־- i h p‘ -4- kp2 m -f- 31 p?n2 H- 1'7??.3 5 ...־4־ (67) d’où M