( 855 ) niées par leurs valeurs en nombres abstraits ou en rapports d'arc au rayon. » 2° Emploi des coordonnées linéaires. — Pour faire comprendre comment on est conduit à choisir les coordonnées dont il s’agit, nous ferons subir quelques transformations à l’équation différentielle (36). » Désignons par si le rayon de courbure de la section méridienne au point (L, 4^), et $ le rayon du parallèle de latitude L, dont la valeur est yx2־rnous aurons (48) ~ = si, rtcosX=r$, relations dont la seconde se déduit de la première équation (ta). . » Posons encore (49) ■ p. = rtsin (L'~ L), zs = rzcosLsin (4^־— jçJ ; l’équation (36) multipliée par — a deviendra (50) — adA = [isidL-t-zsQldj^: le facteur a, introduit ici, a pour objet de rendre plus claire l’interpréta-tion géométrique de l’équation de condition relative à l’intégrabilité. Cette équation est d.p$l _ ; dj^ = ~dL’ ou, en observant que si n’est pas fonction de . m dp. _ dru ■01־® + = דךדtt־• d¿¿ ci L cl L Or on a, en vertu des relations (3ך) et (48), ^cosL. <£■ (50 Différentiant cette équation, et ayant égard à la première équation (37) qui donne — — (a2—c2) sinLcosL, . clV IL (l$ a2 . T cû clV a2 . ־'*]_׳/ « cos1 L~î ^ - sinL - - — cosL = - — sin L p 1 - (a2- c2) —J (Cl2 C2 = — — sinL= —־ JisinL. (52) il vient (53) 109..