( 757 ) mité extérieure des faisceaux corticaux, et sont formées bien longtemps après le moment où les premières fibres corticales étaient en contact avec la zone génératrice. » Nous croyons devoir soumettre ces considérations à l’habile observateur de Rio־Janeiro, qui a l’avantage de résider*dans le pays où croissent les lianes qui nous occupent, et qui peut conséquemment les étudier sur des échantillons vivants. » MÉMOIRES PRÉSENTÉS. analyse. — Des conditions sous lesquelles quelques périodes de la quadratrice d’une courbe de degré m disparaissent, en devenant nulles ou infinies; Mémoire de M. Max. Marie. (Extrait par l’auteur.) (Commissaires précédemment nommés : MM. Bertrand, Bonnet, Puiseux.) « Le principe de cette théorie repose sur cette notion évidente, que les quadratrices de toutes les courbes d’un même ordre ont naturellement, toutes, les mêmes périodes, exprimables par les mêmes fonctions des coefficients qui entrent dans leurs équations ; c’est-à-dire que les résultats auxquels on sera parvenu en discutant la quadratrice de la courbe la plus générale de degré m pourront ensuite être transportés, sans démonstration nouvelle, à l’un quelconque des lieux du même degré, représentés par des équations à coefficients réels ou imaginaires, pouvant présenter toutes les particularités imaginables. )> Ainsi la quadratrice du cercle réel " (.r —a)2 + \y — b)2 = r2, ׳ ayant pour période ± nr2, la quadratrice du cercle imaginaire (x — a — a'\J— i)2 ־!־ (y — b — b'sl— iY = (r ־+־ r' \j— i)2, aura pour période ± n(r-h r'\/—i)2. » De même, la quadratrice de la courbe représentée par l’équation Aj2 ־+־ zBxy + Cx2+ mDj + 2Ex + F = o, lorsque c’est une ellipse ou une hyperbole réelle, ayant pour période , AE2־t־CD2—2BDE-kF(B2— AC) — TC ------------- “ 3 V----- ' : (AC —B2)2 C. R., i873, Ier Semestre. (T. LXXVÏ, № 12.) 97