( 725 ) que les points de leur surface n’en sortent pas; et il montre que l’existence des unes entraîne l’existence des autres dans le milieu vibrant, de sorte que, s’il s’agit, par exemple, de prismes rectangles, les sommets des concaméra-tions excitantes sont les centres inertes des concamérations isolantes, tandis que les centres des premières sont les sommets, tirés ou pressés, des secondes. Pour les concamérations excitantes, le terme en U est le même que pour les polyèdres se refroidissant dans un bain à zéro, ainsi qu’il est dit à la fin de la onzième des Leçons sur la chaleur (ouvrage où sont développées les solutions), la dilatation cubique $ remplaçant ici la température Y. Pour les concamérations isolantes, il suffit de changer, dans le terme en U correspondant aux concamérations excitantes, les sinus en cosinus et récipro- » 7. Voici, comme résumé, lors d’un milieu non cristallin, les valeurs generales et les valeurs minima Nm du nombre N de vibrations pour les divers polyèdres. Je copie la fin de la feuille Y donnée par M. Lamé en 1861-62, en y remplaçant la dernière ligne par la dernière ligne de la feuille Z, donnée en !863-64, avec la même définition de N toutefois. quement. » Prisme rectangle abc, avec i" = ï » Prisme carré a2c, 1 ״ .•// avec 1 ». Prisme triangulaire \de a2c, même N¿, où i' et sont inégaux, avec i" = i = 1, if = 2. )> Cube V, » Prisme triangulaire ^de a3 , C. R., 1873, i «*Semestre. (T. LXXVI, № il.) 93