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que pour HCl et Br, à cause de la présence inévitable de quelques millièmes d’iode libre (dont il a été tenu compte dans le calcul de l’acidité). La formule
V=!8« + 35,5
représente assez bien les volumes moléculaires observés. Ici il ne paraît pas se produire de contraction sensible pendant la dilution, pas plus que dans la formation de plusieurs iodures métalliques solides au moyen de leurs éléments.
» Entre les volumes moléculaires des solutions étendues des trois hy-dracides dont la composition est équivalente, il existe une différence à peu près constante :
HI‘־4־ nH301 2 surpasse HCl ־+־ /¿H202 de 17e0,3,
valeur considérable, car elle est presque égale à la constante (18,2) de la formule qui exprime les volumes moléculaires des solutions chlorhydriques. D’autre part
HBr-f-«H202 surpasse HCl -b nH2O2 de 7CC,3 (1).
Ces différences se retrouvent, avec des valeurs numériques presque identiques, entre les dissolutions étendues des chlorures, bromures, iodures de potassium, de sodium et d’ammonium. Elles se retrouvent encore entre les sels solides de ces métaux. Par exemple, le volume occupé par Kl solide surpasse celui de KC1 de 17e0, 3; le volume de R Br solide surpasse celui de R Cl de 7e0,3.
» On observe à peu près les mêmes différences entre les volumes moléculaires des chlorures, bromures, iodures acides de la Chimie organique, tels que les chlorure et iodure acétique (liquides), ainsi que dans beaucoup d’autres cas. Cependant il convient d’ajouter que l’on ne trouve pas les mêmes différences numériques dans la comparaison des volumes moléculaires des sels métalliques (plomb, mercure, argent) non plus que dans celle des composés qui renferment plusieurs équivalents d’un corps halogène ; mais le volume d’un composé chloré demeure dans tous les cas inférieur à celui du composé bromé, lequel est surpassé dans tous les cas connus
(1) Le volume moléculaire des solutions d’acide cyanhydrique, à partir du mélange HCy -i- 1 ־•H2O2, répond à la formule approchée
Y = 18/2	34,6.
Il diffère donc fort peu de celui des solutions iodhydriques.