( 012 ) » Examinons maintenant les inégalités de la longitude, et, pour cela, rappelons que les coordonnées des taches sont rapportées, dans le Catalogue de sept années de M. Carrington, à un méridien mobile, animé de la rotation alors admise pour le Soleil, c’est-à-dire d’une vitesse diurne de j40,,843. M. Carrington a reconnu qu’il fallait ajouter à cette vitesse un terme variable avec la latitude; j’ai trouvé que ce terme devait être de la forme m - n sin2X, en sorte que la loi de la rotation du Soleil (photosphère) est : La vitesse angulaire de rotation , d’une quantité.proportionnelle au carré du sinus de la latitude. D’après cela, le mouvement diurne m — « sin2X devient, pour une tache dont la latitude oscille périodiquement, m - n si2״ [>. + « cos,3 (t_