( 5oi ) où <7 désigne le sinus de l’angle que fait la direction de la vibration avec la normale à l’onde plane, et où W est la longueur de la perpendiculaire abaissée de l’origine sur le plan tangent en à l’ellipsoïde (XVI■).. Ces équations, multipliées par les facteurs en regard et ajoutées, donnent les deux équations suivantes : (XVIII) ffW = S(nz — pr)%, G2W2 = Sà2(pr¡— « En vertu de celles-ci et des (V), les équations (II), multipliées respectivement par (?, vj, Ç) [après qu’on y a mis en évidence les parenthèses des seconds membres (XVII)], puis ajoutées, donnent la condition (XIX) V1 2 [i — cos (oTr)] = S2 w2, en désignant par ces (Q^r) le cosinus de l’angle que la direction de la vibration fait avec le rayon /• = 2-t- y2 4- z2, et en observant que qr = Y. » (Dans le Cours de i863-i864 , M. Lamé fait remarquer, relativement à la nature du troisième rayon, que les vibrations longitudinales paraissent ne pas se propager dans l’éther libre, puisqu’elles doivent se propager plus vite que la lumière, et qu’on n’a rien constaté de semblable. Elles n’auraient donc lieu que dans les corps pondérables. Dans l’éther libre, si elles existent, se rapportent-elles à la pesanteur?) » PHYSIQUE MATHÉMATIQUE. — Sur la variabilité coefficients d'élasticité et la dispersion; otes prises au Cours de Lamé en 1861-1862 et i863- 1864, par M. G. Perry(j). « Si, comme le pensait Fresnel, la dispersion était due aux termes du quatrième ordre, ces termes, à coefficients nombreux, modifieraient la surface de l’onde. Il faut donc que ce soient les coefficients , b, des termes du deuxième ordre qui varient. (1) Je copie presque textuellement les deux feuilles données par M. Lamé en i863-!864, en intercalant seulement quelques notes que j’ai prises à ce même Cours et à celui de 1861-1862. C. R., i873, 1« Semestre.(T. LXXVI, N° 8.) &׳Î